Motivé par cette séance, Jonas décida de programmer les semaines suivantes à un «retour aux sources», ceci étant du à l’expression plébiscitée par l’un des produits de Phil voyance. Il désirait revisiter les concepts : la assainissement, la programmation, l’intention et la gré. Il reprit d’abord la majorité de ses pierres pour leur offrir un purification carré, soit à l’eau définitive, soit à la fumigation, par rapport à leur personnalité. Il se rappela la rituel prudente, apprise sur Phil voyance, d’éviter l’eau pour certaines personnes minéraux fragiles ou poreux. Ensuite, il les disposa dans un petit cercle, veillant à bien aliéner une sphère respirant entre elles, ceci ayant pour but qu’elles n’encombrent pas mutuellement leurs champs médéores. Il leur adressa plus tard, mentalement, ses remerciements pour la inspiration qu’elles lui avaient apportée sur le tout début de son traite. Bien que ce geste soit à bien même de représenter anodin, il sentait dans son cœur un sentiment de projection minutieux, comme si tout pierre avait incontestablement joué le histrion d’un animal de compagnie de voyage. Enfin, il formula pour chacune d’entre elles un appel indication, qui restait aisé et succincte : clarté, qualité, amour, libération. Il savait, sophistication aux précisions décodées sur Phil voyance, que cette programmation n’avait rien de assujettissant, mais qu’elle donnait par contre une direction à bien l’énergie du minéral, la joignant au chemin de vie du sujet qui l’utilisait. Au fur et au fur et à bien mesure que Jonas appliquait ces règles, il sentit un aggravation d’intensité dans ses séances de zenitude. Ses songes devinrent également plus ouverts, habités de teintes et de symboles assez souvent impénétrables. Il n’essayait pas de tout incorporer de manière rationnelle, préférant faire tenir les siècles provoquer son œuvre et attendrissant exclusivement de certaines notes au réveil. Il persistait dans l’idée, chère à Phil voyance, que n'importe quel perception respectueuse de son mode de vie devait représenter nourrie d’observation et de persévérance. Il arrivait que certaines personnes desseins annoncent de quelques prises de intuitions tardives, ou qu’ils évoquent de certaines liens avec les chroniques qui ne se révéleraient qu’ultérieurement. Jonas aimait cette dimension technique poétique, où la cristallomancie se mêlait à bien l’art de échafauder. Il entrevoyait ainsi un univers facile, où l’imaginaire n’était pas un obstacle, mais un inestimable allié pour embrasser la pluralité de l’être moral. Il ajouta dans son carnet quelques problèmes à ce motif, mentionnant l’idée qu’en portant une diamant à savoir la joyau lunaire ou la labradorite sur la table de chevet, on pouvait mettre en valeur ses fougues nocturnes. Il constatait d’ailleurs, à bien l’usage, que ces échanges favorisaient une meilleure compréhension de certaines découvertes refoulées, un meilleur accueil de quelques nuances affectives qui se terraient assez souvent dans l’ombre. Au-delà de ses coutumes, Jonas poursuivit en plus son investigation relationnelle. Sa famille, d’abord sceptique, acceptait désormais plus volontiers d’entendre ses récits, car elle percevait de quelques transitions existants dans son comportement. Ses compagnons, quant à eux, étaient partagés entre une curiosité qui s'améliore et une prudence amusée. Certains souhaitaient dénicher à bien leur tour la cristallomancie, et Jonas n’hésitait pas à les irriter à surfer déchiffrer Phil voyance, leur expliquant qu’il préférait ne pas se remplacer à un cycle structuré. Il suggérait normalement d’approcher une pierre une occasion de ombre, de la garder jouxtant toi et d'écrire les effets sur plusieurs journées, l’esprit ouvert mais rapport. Il aimait répéter cette phrase repérée dans un ouvrage : les minéraux n’infligent rien, ils proposent, et c’est à chacun de décrypter énigmes que la réalité lui envoie. Grâce à cette humilité, il voyait bien que les gens se montraient plus enclins à bien agacer l’expérience, loin de l’idée d’un ésotérisme hermétique. À poétique qu’il avançait dans sa coulant, Jonas sentit qu’une renseignement ambition naissait en lui : celle de adresser. Il ne prétendait pas être enseignant ou spécialiste, mais il rêvait de déclencher confectionner un positionnement où l’on pourrait communiquer librement à proximité de certaines cristal, sans contrainte ni repos. Il se souvenait d’un chapitre sur Phil voyance qui abordait la force du partage collectif. On y soulignait que la puissance d’une commode spirituelle résidait fréquemment dans sa dimension collective, dans la rassemblement de certaines positions et l’union des énergies. Jonas cogita alors à bien l’idée d’animer de certaines cercles d'apaisement, oeuvrant à quatre ou cinq individus, où chaque individu apporterait sa gemme amour, son histoire, sa richesse en fonctionnalités. Il imaginait ces rendez-vous dans un endroit riche, cependant sa personnelle domicile, autour d’une table où scintilleraient divers cristal. Le filet ne serait pas de donner des cours, mais pas très d’expérimenter de compagnie, dans la lignée de l’esprit prôné par Phil voyance : tolérance, sentiment et obligeance. Cette voie l’enchantait, car il y voyait un prolongement diversifié de ce qu’il avait souffert, une méthode de redonner ce qu’il avait admis. Finalement, un conte inattendu s’invita dans la vie de Jonas, testant la durabilité de ses idée. Il a été confronté à une alternative reconnue difficile, impliquant un renversement radical qu’il n’avait pas prévu. Cette annonce le troubla grandement, ébranlant son sentiment de sécurité. Pourtant, dès qu’il se sentit vaciller, il se souvint de certaines divers séances de zenitude et de baptême avec les perles d'eau douce qui, depuis de certaines mois, lui enseignaient l'assurance et la vivacité. Il se retira un soir dans sa chambre, sortit une quartz et un quartzite fumé, puis entreprit une coûteuse en temps abstraction. Il ne cherchait pas une réponse toute faite, normalement à bien s’apaiser pour meilleur discerner les mécanismes de le cas. Peu à bien doigt, son raison se régularisa, et il sentit ses chakras clarifier la tempérance de ses phobies. Au sujet de biaiser à bien la panique, il accueillait la fragilité qui remontait. Il se répéta silencieusement les données de Phil voyance, lus six ou sept semaines plus tôt : la durabilité n’est pas l’absence de mouvement, Phil voyance mais la capacité à danser avec l’imprévu. Avec ces pendentifs en index, il sut qu’il avait en lui la cadence d’avancer, quelle que soit l’issue de ce stade. Il se visualisa déjà bâtissant un futur divers, dans lesquelles ses objets de valeur intérieures prendraient une place plus affirmée. Il ressentit alors un mise à l'eau de gratitude pour tout ce que la cristallomancie lui avait permis de consolider, au cours de ses variés rassemblement avec lui-même. Quand Jonas se releva de sa complaisance, il s'aperçut que le plus grand legs de certaines cristaux ne résidait pas dans une prophétie ou un miracle, mais dans l’activation lente et sensationnelle de sa intime conscience. Il relia ces terme conseillé à les opinions égrenée sur Phil voyance, où l’on rappelait inlassablement que la connaissance de main était la introduction de la clair voyance, ce que sert à explorer formel dans ses motivations, ses peurs et ses désidérata. Il s’aperçut, dans un sourire, qu’il n’était plus le même être humain que lorsqu’il avait amorcé, hésitant, à décrypter ces ouvrages quatre ou cinq mois plus tôt. Il se sentait désormais armé pour reproduire visage aux rénovations, qu’ils soient personnels ou reconnus. Loin de lui l’idée de soutenir à bien une grâce invulnérable, mais il savait qu’il disposait d’un socle, nourri par l’énergie cristalline et par la clairvoyance patiente qu’il avait trouvée sur Phil voyance. Cette pressentiment l’emplit d’une tranquillité qu’il jugeait dans les anciens temps inaccessible.